Grand père (les mots)
Jeu 18 Avr 2024 - 18:21
Grand-père
Bien sûr grand-père n'existait pas.
Bien sûr le nuage est nuage un peu d'eau condensée.
Bien sûr l'arbre n'est que du bois dont on fait du papier.
Et pourtant grand-père était là avec sa mémoire des vieux mondes.
Elle disait qu'il était au bout du sentier, près des étangs où se perdent les pierres.
Par un matin brumeux je partis à sa découverte, il était bien au bout du sentier le vieil arbre, trois
mots à prononcer pour y entrer.
Mais la magie n'opère plus, que se passe t'il ?
Grand-père est loin, perdu dans les brumes, le temps à passé, je ne reconnais plus cet endroit
trop de mots futiles, inutiles, le rêve est brisé. Un monde nouveau frappe à la porte, donnons lui
une chance, les arbres ne sont que du bois dont on fait du papier, les nuages sont nuages, un
peu d'eau condensée et pourtant...
<Je me rappelle grand-père
Lui que nul ne vit jamais
Je l'avais façonné à l'image des contes
Ombres sombres des bois à la lune qui monte
Je me rappelle grand-père
Lui que nul ne vit jamais
Les mains longues et noueuses
Et les rides profondes sur les lèvres toujours les récits des vieux mondes>
Bien sûr grand-père n'existait pas.
Bien sûr le nuage est nuage un peu d'eau condensée.
Bien sûr l'arbre n'est que du bois dont on fait du papier.
Et pourtant grand-père était là avec sa mémoire des vieux mondes.
Elle disait qu'il était au bout du sentier, près des étangs où se perdent les pierres.
Par un matin brumeux je partis à sa découverte, il était bien au bout du sentier le vieil arbre, trois
mots à prononcer pour y entrer.
Mais la magie n'opère plus, que se passe t'il ?
Grand-père est loin, perdu dans les brumes, le temps à passé, je ne reconnais plus cet endroit
trop de mots futiles, inutiles, le rêve est brisé. Un monde nouveau frappe à la porte, donnons lui
une chance, les arbres ne sont que du bois dont on fait du papier, les nuages sont nuages, un
peu d'eau condensée et pourtant...
<Je me rappelle grand-père
Lui que nul ne vit jamais
Je l'avais façonné à l'image des contes
Ombres sombres des bois à la lune qui monte
Je me rappelle grand-père
Lui que nul ne vit jamais
Les mains longues et noueuses
Et les rides profondes sur les lèvres toujours les récits des vieux mondes>
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